IA et potentiel humain : un nouveau rapport révèle comment les entreprises peuvent vraiment booster la productivité
L’Université de Phoenix, à travers son College of Doctoral Studies, a publié un nouveau document d’analyse intitulé « Réinventer la productivité : aligner l’innovation en intelligence artificielle avec le potentiel humain dans la main-d’œuvre moderne », rédigé par Jessica Sylvester, Ed.D., MBA, responsable des opérations académiques et enseignante associée à l’université, ainsi que chercheuse au Centre de recherche en éducation et technologie pédagogique (CEITR). Ce rapport explore les raisons pour lesquelles l’investissement croissant dans l’intelligence artificielle (IA) n’a pas toujours conduit à des gains de productivité mesurables, tout en proposant des stratégies centrées sur l’humain pour une adoption plus efficace de la technologie au travail. S’appuyant sur les résultats de l’étude Career Optimism Index® de l’Université de Phoenix ainsi que sur des recherches pertinentes, le document met en lumière des enjeux critiques : 51 % des travailleurs américains déclarent souffrir d’épuisement professionnel, seulement 34 % des employeurs offrent une formation à l’IA, et les employés qui utilisent effectivement l’IA se disent 2,5 fois plus autonomes, plus maîtres de leur carrière et moins exposés au burnout. « La conversation sur l’IA ne peut commencer et se terminer par les outils ; elle doit commencer par les personnes », affirme Jessica Sylvester. « Quand les organisations adoptent l’IA avec transparence, renforcent la littératie numérique, et repensent les rôles pour favoriser la flexibilité, la technologie amplifie les capacités humaines au lieu de les éroder. C’est ainsi que l’on peut combler l’écart entre innovation et impact réel. » Le document propose des recommandations concrètes pour les employeurs et les décideurs : intégrer l’éthique dans la formation à l’IA, favoriser un climat psychologiquement sûr, privilégier la mobilité interne, et concevoir des postes en tenant compte de la flexibilité et du bien-être. Ces approches, selon l’auteure, permettent non seulement d’optimiser la productivité, mais aussi d’améliorer les résultats globaux au sein des organisations. Jessica Sylvester, qui cumule plus de 18 ans d’expérience dans l’éducation supérieure, est enseignante associée au College of Social and Behavioral Sciences, au College of Education et au College of Business and Information Technology de l’Université de Phoenix. Elle a obtenu son Doctorat en éducation (spécialité administration de l’éducation) et son Master en administration des affaires (MBA) à l’Université de Phoenix, ainsi qu’un Bachelor en travail social à l’Arizona State University. Le document complet est disponible sur le site du Career Institute® de l’Université de Phoenix ou sur sa plateforme de recherche. L’Université de Phoenix innove pour aider les adultes en activité à améliorer leur carrière et à développer des compétences dans un monde en constante évolution. Grâce à des horaires flexibles, des programmes adaptés aux réalités professionnelles, un curriculum aligné sur les compétences requises, et un engagement en faveur des services de carrière à vie, l’université soutient les étudiants dans la conciliation entre vie personnelle, professionnelle et formation. Pour en savoir plus, rendez-vous sur phoenix.edu.